Le Phoenix, entité légendaire. L'histoire raconte qu'au temps des sorcières de Salem un jeune homme fût capturé par une bête, on connaissait cette histoire sous le nom de « Petit Chaperon Rouge » au temps des humains. Ils étaient deux, des jumeaux, les yeux rouges comme des joyaux flamboyant, l'élément du feu qui parcourait leurs veines, dans un souffle ils pouvaient réduire en cendres des royaumes entiers. Des jumeaux qui étaient vêtus de rouge et qui s'amusaient dans les bois, une bête qui rôde, un enfant qui se détache de sa sœur. Attraper, le loup affamé qui veut le dévorer. C'était une histoire comme toutes les histoires, il aurait pu l'avaler tout rond. Il n'avait pas réussi, les yeux clairs, la voix de velours, la persuasion dans les mots. Le loup l'avait agrippé, les crocs autour de sa chaire, il l'avait emmené dans sa grotte et s'était transformé en humain sous les yeux effarés du gamin. L'histoire des sorciers et des loups, le commencement de l'histoire de l'imprégnation, de l'âme sœur, ils s'étaient apprivoisés.

La chasse aux sorcières, la chasse aux shape-shifters dans le même temps, le feu des bûchés qui s'élèvent plus haut que les nuages, les cris, les hurlements, la peur d'être le prochain à mourir. Le sorcier et la bête, un amour qui est né, à grandit, s'est épaissit, une appartenance mutuelle que le sorcier avait scellé, les bêtes qui avaient été promis à une vie de recherche d'âme-sœur, l'odeur de la personne promise qui deviendrait une drogue, entêtante et vivifiante, comme une bouffée d'air frais. La bête qui protège son amant, la fourche qui s'enfonce, la dague d'argent dans le cœur, le dernier souffle qui s'envole et le Phoenix qui naît, créer de deux amants maudits qui ont juré il y a des centaines d'années de se retrouver dans plusieurs vies, qui ont juré qu'ils ne seraient plus séparés par la mort, la vie éternelle comme une éternelle chance de recommencer.

Si l'un meurt, l'autre meurt avec lui, un enchantement qui ressemble plus à une malédiction pour certains. Les change-formes qui dépendaient d'une autre personne, les corps qui s'adaptaient pour toujours protéger l'autre, le corps de l'autre qui s'adaptait à la morsure d'âme pour que même les mâles puissent continuer la lignée (en effet la morsure d'un Alpha à son âme-sœur permet à la dite âme-sœur de tomber enceinte et d'avoir des enfant même s'il est un homme). Le Phoenix qui renaît, s'attache à une famille en particulier, un sorcier élémentaire du feu qui devient bénit et maudit, la mort où il ou elle passe, le pouvoir instable, la peur, la mort, l'enfer. Le but du Phoenix, retrouver son âme-sœur perdu, il peut être partout, sorcier ou non, le Phoenix qui cherche sa moitié, le Phoenix qui peut-être un hybride ou un sorcier, le Phoenix qui cherche à protéger l'autre partie de lui-même, des voix d'antan qui se font parfois entendre, les anciens phœnix qui donne des conseils, qui hurlent leur peine de voir l'histoire recommencer encore et encore. Les roses rouges qui bouffent les poumons quand quelqu'un croit avoir trouvé la bonne personne, mais que ce n'est pas elle qui lui est destinée, les fleurs qui se développent, qui encourage à partir, parfois ils écoutent et trouve la personne qui leur est destinée, parfois ils meurent en voulant être trop obstiné.

Avant toute chose, il faut savoir que hanahaki ne touche que les loups ainsi que leur âme-sœur, puisqu'il s'agit d'une conséquence du sort que le premier phœnix a lancé.

(+) Hanahaki est une maladie qui est provoquée lorsque qu'un amour à sens unique se déclare; elle peut se déclaré si le change-forme pense avoir trouver son âme-sœur mais qu'il se trompe ou que le change-forme et/ou l'âme sœur refusent de voir un lien entre-eux se créer.
(+) La maladie se manifeste uniquement lorsque la personne se tient près de son âme sœur, elle ne souffre pas si elle reste loin d'elle, du moins pas physiquement car la douleur psychologique est, elle, bien réelle.
(+) La maladie ne peut pas se soigner, les symptômes peuvent juste être évités par la distance.
(+) Une personne n'a qu'une seule âme sœur véritable.
(+) Chaque personne a une âme sœur, même ceux qui refusent d'y croire
(+) Une personne se pensant hétérosexuelle peut tout à fait avoir une âme sœur du même genre qu'elle, et inversement.
(+) Les âmes sœurs ne peuvent pas être de la même famille, même dans le cas de frères et sœurs séparés à la naissance et nous refusons que des frères/sœurs adoptés soient âme-sœurs car pour nous cela relève de l'inceste.
(+) Lorsqu'une personne rencontre son âme sœur, elle a soudainement envie de passer tout son temps avec elle, de la connaître, elle ressent le lien, quelque chose qu'elle n'avait jamais ressenti auparavant
(+) Si l'âme sœur d'une personne meurt, la douleur est si intense qu'il est fréquent qu'elle se laisse mourir à son tour, voire mette elle-même fin à ses jours. Il est possible, bien que très difficile d'y survivre toutefois.
(+) Le lien ressenti lors de la rencontre avec l'âme sœur peut comme tout sentiment être nié, non assumé, refoulé, à la différence qu'il ne disparaîtra jamais.
(+) La seule façon de soigner Hanahaki est d'accepter son âme-soeur et avoir une relation sentimentale avec elle.
(+) La maladie se déclare d'abord sous formes de pétales qui sont toussées par la personne qui refuse ses sentiments et/ou qui est rejetée et elle s'aggrave avec le temps jusqu'à ce que la personne vomissent des fleurs entières.
(+) Quand quelqu'un atteint le dernier stade de la maladie la mort est proche.